Gourmand, doux, raffiné. Le macaron à la framboise remporte sans hésitation la palme du dessert romantique, qui plaira à coup sûr. Une rencontre, au détour des rues de Paris. Ils courent après l'amour, sans même s'en rendre compte. Amoureux, déchus ou heureux, Paris est leur ville d'abri. Au hasard d'un métro, d'un passage, d'une balade, l'amour est partout à Paris. Et sous les lumières de la ville, que l'on soit aimé, désiré ou délaissé, l'amour est toujours là. Il faut juste savoir l'accueillir avec douceur.

A l'origine, le Paris-Brest a été créé pour représenter la roue d'un vélo de la mythique course Paris-Brest-Paris. Comme ce gâteau, les appartenant de ce groupe sont toujours en train de bouger ! Une hésitation entre deux jobs, deux ami(e)s, deux appartements, deux directions, deux vies finalement. Paris ou Brest ? Brest ou Paris ? Et bien, comme qui dirait... Pour le moment, ils ont le cul entre deux chaises. Et ce n'est pas toujours facile.

Tout est renversé, tout est cassé. Il paraît que si l'on oublie son passé, on est condamné à le revivre. Eux n'ont jamais oublié leur passé : ils vivent avec en permanence, comme un fardeau sur leurs épaules. Ils voudraient revenir en arrière, avoir existés dans une autre vie, être restés des enfants... Tout les ramène à des pans de leur vie antérieure et le futur ne veut rien dire pour eux. Leur vie actuelle ne les satisfait pas, ce qui les rend comme prisonniers de leurs souvenirs, malgré le temps qui passe.

Bien dans sa tête, bien dans sa peau, un quart de folie, un quart d'ingéniosité, un quart de sexy pour un quart de surprise. Ou quatre quart de ce que vous voulez, d'ailleurs. Ils sont plus ou moins équilibrés (enfin, plus que la moyenne), sont souvent bien organisés, assez réguliers. Avec un job fixe, un couple qui marche bien, une situation correcte dans la vie. Qu'ils répondent à tous ces critères ou seulement à l'un d'entre eux, vous êtes entre de bonnes mains avec ceux là.

100% pur parisien. Enfin, façon de parler. Tombés amoureux de la capitale, ils ne l'ont plus jamais quitté. Certains se souviennent du pourquoi, d'autres ont même oublié ce qu'était la vie avant Paris. Parce que la plus belle ville du monde les a ensorcelé et qu'ils ne peuvent se défaire de son charme. Riches ou pauvres, contraints ou par choix, ils sont là, hypnotisés par une ville dont ils ne peuvent se défaire. Et ça marche aussi pour les parisiens pur jus. Après tout Paris, c'est toute leur vie.

Comme le Bescoins qui vient de Savoie, ceux là tiennent à garder leur identité. Paris, certes, mais chez eux d'abord. Les japonais qui se baladent avec leurs appareils photos et qui font une razzia chez Vuitton, cliché ? Les anglais qui se perdent en cherchant Notre Dame, cliché ? Les provinciaux qui se plaignent de tout, cliché ?Globalement, tous ces touristes qui ne savent pas prendre le métro, le RER, le bus (sauf l'OpenTour, bien sur), tout ça, clichés ? Non, loin de là. Ils sont extérieurs mais présent, ceux que Paris aime et aimera toujours, qu'ils l'adulent ou la déteste.

Plein de saveurs, plein de surprises. Demain, repeindre Paris en bleu ? Pas de soucis. Dans 4 jours, partir à l'autre bout du monde ? Okay, je vérifie mon passeport et j'arrive. Dans une heure, changer radicalement de coupe ? Décider de quitter son travail, son mec, son appartement pour changer de vie ? Je signe. Ils vivent avec 98% de folie dans l'esprit, sans être capable de se poser, de se calmer, de signer pour quelque chose de fixe. D'ailleurs, où sont-ils passé ?